A Wellington

Arrivés à Wellington la capitale vers 8H45 nous sous sommes dirigés vers le grand backpacker qui fait face à la gare, située près du port , bien heureux de n’avoir pas à porter plus nos sacs toujours trop lourds, avant de ressortir et de marcher, marcher marcher jusqu’à trouver dans le quartier animé le soir un japonais /chinois et nous faire servir une bonne soupe de fruits de mer . J’ai bien aimé la ville un mélange de vieille Angleterre avec d’élégantes et charmantes vieilles demeures et d’immeubles de bureaux très modernes et un quartier d’affaires qui m’ont je ne sais trop pourquoi évoqué Belfast ou Chicago ! La « ruche », un immeuble conique érigé en 1981, siège du pouvoir, sorte de palais gouvernemental puisque le Premier ministre en occupe un étage, fait partie des « Parlement Buildings » et m’a immédiatement séduite. Je suis toujours touchée de voir ce que peut bâtir la vision et l’imagination et le labeur. C’est difficile d’imaginer qu’il y a seulement 170 ans il n’y avait pas de Wellington !
L’endroit s’appelait Te whanga-nui-a-tara, le port de Tara. Ce n’est qu’en janvier 1840 que les premiers colons s’y installèrent. Ils s’étaient embarqués sur l’Aurora de la New Zealand Company . Le colonel Wakefield avait acheté des terres aux Maoris qui allaient migrer vers le Sud après que leur chef Tara y soit allé en éclaireur et était ensuite allé chercher ceux qui allaient contribuer à asseoir les bases de la future économie . Bien sûr la situation était idéale. Véritable plaque tournante entre les deux îles et lieu de passage obligé, une ville fut vite construite autour d’un port au commerce florissant. Elle prit le nom du duc de Wellington et devint la capitale officielle de la Nouvelle Zélande en 1865.
Sur le chemin long, long long du retour, nous pouvions entendre dans las bars irlandais la musique tant aimée. Il y a ici un Kitty O’Shea
Mon ami Brian Lougney propriétaire de la chaîne, n’est jamais très loin ! J’aime le retrouver partout. Et pour clore la fête nous avons eu le droit au grand feu d’artifice tiré près de la gare qui nous gardait donc dans la bonne direction. Encore un peu d’Internet, quelques coups de fil en Europe avant de ronfler l’une sous l’autre puisque nous avions pour une fois des lits superposés !