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dimanche, juin 28, 2009

From a 90 years old lady


Words of Wisdom


1. Life isn't fair, but it's still good.
2. When in doubt, just take the next small step.
3. Life is too short to waste time hating anyone...
4. Your job won't take care of you when you are sick. Your friends and parents will. Stay in touch.
5. Pay off your credit cards every month.
6. You don't have to win every argument. Agree to disagree.
7. Cry with someone. It's more healing than crying alone.
8. It's OK to get angry with God. He can take it.
9. Save for retirement starting with your first pay check.
10. When it comes to chocolate, resistance is futile.
11. Make peace with your past so it won't screw up the present.
12. It's OK to let your children see you cry.
13. Don't compare your life to others. You have no idea what their journey is all about.
14. If a relationship has to be a secret, you shouldn't be in it.
15. Everything can change in the blink of an eye. But don't worry; God never blinks.
16. Take a deep breath. It calms the mind.
17. Get rid of anything that isn't useful, beautiful or joyful.
18. Whatever doesn't kill you really does make you stronger.
19. It's never too late to have a happy childhood. But the second one is up to you and no one else.
20. When it comes to going after what you love in life, don't take no for an answer.
21. Burn the candles, use the nice sheets, wear the fancy lingerie. Don't save it for a special occasion, Today is special
22. Over prepare, then go with the flow.
23. Be eccentric now. Don't wait for old age to wear purple.
24. The most important sex organ is the brain.
25. No one is in charge of your happiness but you.
26. Frame every so-called disaster with these words 'In five years, will this matter?'
27. Always choose life.
28. Forgive everyone and everything.
29. What other people think of you is none of your business.
30. Time heals almost everything. Give it time.
31. However good or bad a situation is, it will change.
32. Don't take yourself so seriously. No one else does.
33. Believe in miracles.
34. God loves you because of who God is, not because of anything you did or didn't do.
35. Don't audit life. Show up and make the most of it now.
36. Growing old beats the alternative -- dying young.
37. Your children get only one childhood.
38. All that truly matters in the end is that you loved.
39. Get outside every day. Miracles are waiting everywhere.
40. If we all threw our problems in a pile and saw everyone else's, we'd grab ours back.
41. Envy is a waste of time. You already have all you need.
42. The best is yet to come.
43. No matter how you feel, get up, dress up and show up.
44. Yield.
45. Life isn't tied with a bow, but it's still a gift."
Remember, friends are the family we choose for ourselves

All that truly matters in the end is that you loved...
Written By Regina Brett, 90 years old, of The Plain Dealer, Cleveland, Ohio
"To celebrate growing older, I once wrote the 45 lessons life taught me. It is the most-requested column I've ever written.

mardi, juin 23, 2009

How to read Aurobindo's work



how to read his works

". . . the best thing would be to obtain perfect silence -and achieve a state of immobility of the brain, I might say, so that the attention becomes as still and immobile as a mirror, like the surface of absolutely still water. Then what one has read passes through the surface and penetrates deep into the being where it is received with a minimum of distortion. Afterwards -sometimes long afterwards -it wells up again from the depths and manifests in the brain with its full power of comprehension, not as knowledge acquired from outside, but as a light one carried within." The Mother


I would recommand the exact same for Alice Bailey's work.

1990-2009 : rien de changé ou si peu ....





Dans la situation de crise où la planète se trouve présentement, les solutions que l’on envisage paraissent dérisoires, les intentions trop lentes à s’exprimer, trop lentes surtout à se traduire en actes... " Le nouveau paradigme ne pouvait pas se définir seulement aux plans politique, économique et social, lui dis-je, mais devait nécessairement reposer sur une nouvelle morale, sur la redécouverte des autres, de l’altruisme. Cela nous permettrait d’accéder à un niveau de conscience plus élevé! "
" Cosmique, peut-être? " me lança mon ami avec une pointe d’ironie.
Le mot cosmique n’était pas sans susciter chez moi aussi un certain malaise. Je le trouve associé aujourd’hui à des entreprises de plus en plus contestables. Je lui rappelai qu’une certaine tradition enseigne qu’il existe trois niveaux de conscience: la conscience ordinaire que nous partageons avec les animaux; la conscience d’être ou conscience de soi – niveau auquel on se réfère lorsque l’on parle de l’éveil de la conscience chez l’hominidé : et la conscience cosmique... C’est-à-dire un élargissement de la conscience de soi, un sentiment de participation à la conscience universelle et de notre responsabilité individuelle et collective en tant que cocréateurs du monde et de nous-mêmes. D’où l’importance de la redécouverte des autres, de l’altruisme...Mon ami m’écouta patiemment. Puis, après un silence qui me parut long, il m’offrit le commentaire suivant : " Je dirais, cher ami, qu’il faut être relativement... désespéré pour en venir à penser que la redécouverte des autres, de l’altruisme, est le seul moyen qui puisse nous permettre de traverser la crise actuelle, de "refaire le monde" – ce qui n’est pas rien! "Le ton était ironique mais courtois. Je compris que je venais à ses yeux de passer résolument dans le camp des utopistes. " Non quand même! Pas la politique et pas l’économie, pas la science et la technologie... mais d’abord la redécouverte des autres! Tu veux rire? " Ça prend une transformation des mentalités pour que tout le reste soit possible, argumentai-je. Il n’y a, selon moi, qu’un changement profond des mentalités pour nous tirer de l’impasse où nous sommes. Est-ce utopique? Alors qu’il suffit en fait que un pour cent de la population se transforme en profondeur... C’est une des lois de la nature. Or, si la tendance exprimée par cette minorité va dans le sens de l’évolution, si elle représente un facteur de survie pour l’espèce, son influence sera déterminante pour la suite du monde... Mais que signifie au juste une transformation en profondeur? C’est là la question. Quant à moi, je ne vois rien d’autre qu’un changement d’attitudes, de comportements envers les autres. Rien d’autre, en définitive, que la redécouverte des autres. Rien d’autre que l’altruisme pour nous tirer de cette impasse... "Mon raisonnement me paraissait incontournable. Mais il me regarda avec un certain sourire.Je ne suis pas insensible à sa critique. Car il en va de ma crédibilité! Prétendre que l’on va résoudre la crise actuelle, refaire le monde – ce qui n’est pas rien en effet! – et parvenir ainsi à un niveau de conscience plus élevé, tout cela grâce à la redécouverte des autres, de l’altruisme, ne manque pas de paraître utopique...
C’est du reste la critique que l’on formulait déjà à l’endroit de la vision d’Einstein, qui allait inspirer le Mondialisme, et à laquelle d’ailleurs se rattache mon entreprise.
Et à quoi Einstein répondait :
" Avez-vous autre chose à proposer? "


( envoyé par Véro Héno :Propos de Jacques Languirand
ayant fait l'objet d'une chronique parue dans
le Guide Ressources, Vol. 06, N° 01, septembre-octobre 1990.)

dimanche, juin 21, 2009

Un mariage, dit "mixte"














Mira l'adorable nounou de Némo mariait sa nièce
aussi nous fûmes lui et moi invités au mariage de l'année

D'un côté Karima , de l'autre Yann
Une même nationalité , 3 religions
4 cultures si l'on compte la bretonne

Une bien belle union
Une cérémonie pleine d'émotions

Avec l'échange des alliances dans un esprit oecuménique
Avec la cérémonie du henné
Les discours émouvants

Dans le parc magnifique du château d'Arnouville
Sous les arbres tri centenaires

dans les salons raffinés à l'heure du dîner

avant que ne commencent le bal , la liesse ,la fête
la cérémonie du bonheur
YOU,iiouiiou......Poî Poï Poï, Poï and Mazel tov

Anniversaires






LoÎs a eu 10 ans le 15 de ce mois et Maria 2 ans le 18
Camille avait eu 11 ans le 1er mai
Et Némo 9 ans fin avril
Ce sont les "petits loups du printemps ".....

Evidemment cela a donné lieu à quelques réjouissances familiales et j'ai pu faire des photos de mes 5 petits enfants réunis autour des bougies et de la Wii!!!!

Merci Marine, pour cet après midi charmant dans ton joli appartement .


Nicolas attend Octobre maintenant pour sortir de sa huitaine ....lentement mais sûrement .
C'est un bonheur de voir les 3 garçons s'entendre comme larrons en foire, alors que la grande cousine prend soin de la petite si maternellement .


Camille my esldest grand daughter was 11 in may
Loïs is 10 since this 15th
Maria is 2 since the 18th
Némo is 9 since april
They could be called my spring's offsprings !

Nicolas will have to wait october to be 9 as well

we had a great afternoon at Marine's who invited us to celebrate the birthdays of her 2 , (Loïs and Maria )
Thank you Marine for a lovely time in your lovely flat .


I always rejoyce to see them 5 together beeing such good friends
They suit me well each and any of them ...
I often say that if I had shop for them in the cabbage's field they would have been the ones I would have choosen and picked !!!

samedi, juin 20, 2009

In the wild west



Une belle photo du Connemara postée sur Face book par Ida Tynan avec une mention sur
le soleil,la pluie et le vent dans l'ouest sauvage et irlandais.

A beautiful picture posted by Ida Tynan ( in Facebook ) with a mention on the wild wet and windy west where sunsets can be this great

jeudi, juin 18, 2009

Le marais breton





Je viens de découvrir le marais breton . Un cadeau à portée de train . Barge à queue noire, Échasse blanche, Chevalier gambette, Canard souchet, Vanneau huppé, Avocette élégante, Sterne pierregarin, Bécassine des marais, Cigognes , hérons ... mais aussi rats musqués , ragondins et grenouilles. Trop beau !
" A l'origine, la zone faisait partie d'une ancienne grande baie recouverte par l'océan ( Baie de Bretagne). Des nombreuses îles la parsemaient (seule l'île de Noirmoutier est encore entourée par la mer. Moi, j'étais près de Bouin. Au cours de la Préhistoire, une sédimentation fluviale en provenance de la Loire et de la Charente a créé une zone de dépôt à versements successifs fermant la baie peu à peu. L’homme a favorisé cet ensablement en construisant des digues et des canaux lors de l'aménagement de marais salants.
Les premières salines ont été creusées au début de l’ère chrétienne sous l’influence des Romains. Les moines bénédictins du XIe au XIIIe siècle entreprirent la construction d'installations salicoles : fosses, étiers.
Le marais était réputé, depuis le Moyen Âge jusqu'au XVIIIe siècle, pour ces marais salants qui ont hissé le Marais breton au rang de plus grand producteur de sel en France (du XVe au XVIIIe siècle avec jusqu'à 30 000 tonnes produites par an). La consommation de sel était alors beaucoup plus importante que maintenant car utilisé comme principal agent de conservation des aliments : la salaison était très répandue.
Les deux paroisses qui produisaient à cette époque le plus de sel étaient celles de Bouin et de Bourgneuf. Celui-ci était ensuite exporté principalement vers les pays nordiques . Mais l'envasement progressif de la baie (provoqué en partie par les tonnes de lest de cale que les navires larguaient avant de charger le sel) mit fin au commerce à grande échelle, l'accès aux ports devenant de plus en plus difficile pour les navires.
L'activité agricole a progressivement supplanté l'activité salicole et engage un réaménagement des marais. L'eau salée est progressivement rejetée vers la mer au profit des eaux de pluie qui remplissent les étiers du marais.
Les éoliennes de Bouin installées en 2002 sont devenues des attractions visibles dans tout le nord du marais. Elles produisent de l'énergie pour près de 20 000 habitants du marais et du nord de la Vendée."( wikipédia)

Une prière




Puissè- je être le protecteur des abandonnés
Le guide de ceux qui cheminent et,
Pour ceux qui désirent l’autre rive,
Être la barque, la chaussée, le pont;
Être la lampe de ceux qui ont besoin de lampe
Le lit de ceux qui ont besoin de lit


L’esclave de ceux qui ont besoin d’esclave .


De même que la terre et les autres éléments
Servent aux multiples usages des êtres innombrables répandus dans l’espace infini;
Ainsi puissè-je être de toutes les façons utile aux êtres qui occupent l’espace
Aussi longtemps que tous ne seront pas détruits.

( Shantideva , La marche vers l’Eveil. Ed Pakmakara.1991)

L'effet du Maître



« Le voir, entendre sa voix , l’évoquer, être touché par sa main sont autant d’actes qui nous mènent vers la libération. Avoir une totale confiance en lui est la meilleure voie vers l’éveil. La chaleur de sa sagesse et de sa compassion fera fondre la gangue qui entoure notre être libérant ainsi l’or de la bouddhéité » .

dimanche, juin 14, 2009

My dear Martine


Sucre candy, raffinement, porcelaine, plateau, dentelle, romans anglais, imprimés Laura Ashley, sourire ambulant, yeux plissés de talent, thé, amour sans condition, poèmes, jardin, fleurs, écriture, confiture, home cinéma, fraicheur, immaculé, profondeur, voilà plein de mots qui collent à ma cousine Martine, ici avec Régis, compagnon de rêve et de vie et leurs chatons, près de leur gentilhommière où je suis venue les voir avec frère et mère. Le nom de la maison : "Baker Street" ( (œuf corse !) en Bretagne nord.
Cats and tea pot , Laura Ashley designs, books, poems, english novels , pieces of china, writing, reading, watching movies and gardening , deep, neat. All those words could be describing my lovely cousin , Martine , the smiling one,who is so English in her ways that I have to beleive she is still acting her past anglo saxon life this side of the Channel . Here she is with her wonderful compagnion Régis and their baby cats , not far from their impeccable garden by their mansion "Baker Street", north of Brittany ( Of course ! )

samedi, juin 13, 2009

Superbe Bretagne



La mer est verte , la mer est grise, elle est d'azur, elle est d'argent , et de dentelles que l'air brouille,en mélangeant leurs tons changeants.

Paul Fort




Je pense qu'à l'intérieur de la maison en vacances il y a une vieille armoire pleine de draps de toile , une armoire fidèle qui garde les lieux depuis longtemps , il y a une horloge peut-être avec un balancier doré , un vieux buffet certainement, des tasses ébréchées mais surtout une table , une table de ferme qui attend , qui attend , près de son banc. C'est pour elle que je voudrais rentrer dans la maison close . Il me semble que je pourrais y étaler des mots et les rouler dans la tendresse jusqu'à en faire des phrases gaies qui s'échapperaient par les fenêtres enfin ouvertes d'une maison habitée.


C'est un pays où il n'est plus nécessaire de prier , c'est lui qui prie pour vous . Chaque village vit son calvaire . Chaque pierre est encore imprégnée d'odeurs de sainteté. Le vent susurre encore d'un âtre à l'autre des murmures, de rosaires , de litanies, de neuvaines, de glorieux mystères ... Les fest-noz ont remplacé les Pardons. Les merguez ont détrôné l'hostie . Dans les chapelles,toutefois ,c'est encore la croix et la bannière. Mais l'important c'est la lumière. Elle était belle à St Cado en cette fin d' après midi là.

Mon frère








Je n'ai qu'un frère , un petit frère devenu grand. Je me demande d'ailleurs comment.
Parce qu'ils ( les parents ) l'ont laissé, ici et là, grandir tout seul . Un orphelin nomade en quelque sorte . Le pire c'est qu'il y avait aussi notre petite sœur dans cette galère . J'avais 4 ans de plus que lui et 5 ans 1/4 de plus qu'elle. J'allais en bicyclette les voir chez les bonnes sœurs de St Barthélémy où ils étaient, à 4 et 3 ans, déjà pensionnaires. Nous en avions eu d'autres méchantes nounous avant. Je n'avais que 18 jours quand, pour mon bien très certainement , mes parents me confièrent à la première poitrine. Que pourraient bien faire d'un bébé tout neuf une postière et un représentant en vin (et en vain) pendant la guerre ? Je me souviens, plus tard, d'une Madame Le Prince qui habitait à Pluméliau, une sombre maison basse à la lisière d'un petit bois ( un taillis peut être !). Quand notre mère venait nous y voir, sa jeunesse (elle devait avoir 30 ans) et sa beauté illuminaient la pièce tant nous l'aimions. La nourrice, un de ces rares jours là, pour honorer la précieuse princesse de nos cœurs, que l'éclat des bougies mettait encore plus en valeur, avait cuit dans le chaudron de la cheminée des pommes de terre boulangère. 60 ans plus tard j'en recherche encore l'odeur. Jamais un plat ne m'a semblé meilleur. Je me souviens d'une Henriette qui le mettait à 3ans 1/2 ans dans la cave noire parce qu'il n'aimait pas le boudin de la même couleur ! Je savais qu'il se passait quelque chose de grave quand plus tard, vers 7 ans, semaine après semaine, son visage encore poupin était baigné de larmes alors qu'il montait dans le car qui le ramenait le dimanche soir à Guidel. Un été, vers 10 ans peut être, il était parti ( comme si l'année scolaire loin de ses parents ne suffisait pas) en colonie avec des garçons de Belz. Il ne connaissait pas leur village et quand dans le car les enfants à tue tête entonnaient : " Non non non, ST Cado n'est pas mort!", leur hymne très local , Lui, il chantait "Sac à dos n'est pas mort ". Il avait bien raison . Ce n'était pas fini. Quand il en était à Quimper( 13 ans, 14) il en avait assez des gendarmes, il jouait au voleur . Quand enfin il revint à Lorient j'étais déjà partie en Amérique. Quand je suis revenue nous étions presque en 68 . Il était sociologue, bientôt éducateur de rues . Il les connaissait bien ces mômes dont on ne s'occupe pas assez , ces mômes qui ont à se construire à partir de ce que des adultes se sont permis de détruire en eux . Quant ils y arrivent. Lui, l'a fait. Après , je l'ai vu ,à deux, puis à trois, marié, père, heureux enfin .J'ai beaucoup d'amour en moi encore en réserve pour l'enfant tout seul qu'il a été et beaucoup de respect pour l'homme qu'il est devenu. Je le trouve plein d'humanité , de bon sens, de gentillesse . Il n'est pas de ceux qui abandonnent.

An irish birthay


I received this from a friend of mine and found it very touching.


Today is a very special day....it is my Mother's 100 th birthday !
Nora Wynne was born in Castlebar County Mayo Ireland on June 13, 1909. She was the fifth of seven children born to Thomas Augustus Wynne and Norah Hynes.
In 1929 she came to America. This photograph was taken on the S.S. America in 1948...my Parents were taking the ship "home" to Ireland and I would meet my Irish relatives for the first time. My parents longed for this trip. My Mother said she saw a billboard in New York City displaying a trans-atlantic trip from New York to Cobh. The next day she went to the ships travel office in Manhattan and asked how she could book this passage. The ship manifest was nearly full and she was advised to book right away. The agent told her that the office would close that day at 5PM but she could bring the money for the trip later that day and he proceeded to take the necessary information. She was told that she could slip the money under the office door if the office was closed upon her return. My Mother said she ran to the bank and withdrew the money for the trip and placed the envelope with her money and identification under the door later that evening. A few days later a receipt arrived in the mail confirming the transaction. This scenario would be unheard of today.
We are sitting in the main diningroom aboard the S.S. America in this photo....probably at dinnertime. Both Kevin and Kristine are left handed and I have always said that no one in my family was left handed. In this photo I notice that I am left handed at 19 months of age !
So here is a happy birthday with love to Nora from her daughter. I appreciate everything that both of my parents did for me and I can hear my Mother saying...."why of course Maureen, nothing but the best" ....May God bless Nora and my Dad, John
Let us think of Nora today....Happy birthday...."Breithlá sona duit, mo ghrá"
All the best.....Maureen

vendredi, juin 12, 2009

60 ans plus tard

En voilà deux qui n'accusent pas leur âge. 91 et 89 passés quand même ! Toujours fringants, élégants, amusants. Ici à la terrasse d'un café à St Nicolas des Eaux , un petit village breton du Morbihan ( au sud de Pontivy ) niché dans la verdure le long du Blavet.
Nous venions y laver la voiture l'été quand nous étions petits et que nous habitions à Pluméliau à 7 kms des chutes de l'écluse sous lesquelles nous aimions nous tenir. Rien n'a changé ! Les mêmes parents, le même café!

When we were young we were living very near this village located near the "Blavet", a beautiful river in the Morbihan in Brittany . We would come there to wash the car every summer's sunday then we would bath under the falls by the lock . It was lovely to be back there 60 years later with the same parents in a great shape indeed when you consider they are past 91 and 89 now, and in the same café where we used to have our limonade . Those long gone days brought back suddently lovely memories.

Lieu de re naissance




La maison de jeunesse de notre père a été vendue sans que nous le sachions dans la famille. Les nouveaux propriétaires nous ont accueillis avec beaucoup de gentillesse quand, une fois de plus, nous venions dans la cour de nos ancêtres nous adosser au puits de granit sculpté, histoire de savoir d'où nous sommes. Et nous sommes au moins 3, ma soeur, ma cousine et moi , à nous dire que si nous avions su...nous nous serions laissé aller à une forme de fidélité familiale! Alors que l'avenir , pourtant et aussi bien, était, et sera, ailleurs .

Once more I went to see the farm where my father was born .Once more I felt at home . But : It has been sold recently .No one in the family knew it was on the market . And now we are many to feel sorry ...But let's keep an happy face . If it was supposed to be ours, ours it would be . My father laughs and says : " Why would you like to live there where I worked so hard, where I was so unhappy that I only wanted to leave ?"
Faithfullmess probably ! A dream of healing him maybe !