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mardi, novembre 20, 2012

Dernier matin

Je reviendrai dans ce pays car je n'ai rien vu, ni les canyons, ni le désert, ni le lac de sel...
Je passe pour me rendre à l'aéroport par les marchés divers.


On dirait que toute la ville en fait est un grand marché. Ici,une femme vend sa chèvre en morceaux.

Des fringues 

Des fringues 

Et encore des fringues...

Jusqu'à l'aéroport la montagne tient sa place dominant le tout 


L’aéroport, qui est très petit pour une vile de cette taille. Il n'est quasiment emprunté que par les gringos et quelques riches "bolivianos". Très humaine, l'échelle. Ça fait du bien . 

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