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mardi, mars 20, 2012

Une terre sans consolation



J’ai eu un beau séjour, pourtant. Les mondes  on ne peut plus divers continuant de se côtoyer comme si de rien n’était.  Je n’ai pas osé faire beaucoup de photos de gens ni de la misère entrevue. Je l’aurais vécu comme une insulte supplémentaire. C’est quand les citoyens passent devant le palais présidentiel  démantelé qu’ils doivent sentir le plus combien ce sera long de vivre comme avant ! Combien de mères ont dû rêver d’y voir leur  enfant  un jour sous ces coupoles ? Quand la tête perd la tête on ne peut plus rêver  Je n’en sais plus quel pays, le Japon je crois a érigé pour le gouvernement des locaux qui ont coûté  les yeux de la tête . je n’ai plus le chiffre en tête Mais Oui vous avez bien lu et il paraît qu’en ce moment on y apporte quelques modifications  C’était en effet invivable : les toilettes étaient trop éloignées des salles de conférence !!!!!Ah mais si en fait : on rêve toujours ! Heureusement il y a les femmes modernes !
"Dans les Amériques écrivait, Renée Defestre, le pire des malheurs était de naître à Haïti ....une terre sasn tendresse ni consolation " Puisse t-elle ne pas avoir raison .

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