mardi 14 juin 2011
Extrait du livre « Au coeur du présent»
d'Osho
d'Osho
II n'y a pas de causes extérieures au bonheur ou au malheur ; ces choses ne sont que des excuses. Peu à peu, nous réalisons que c'est quelque chose en nous qui ne cesse de changer et que cela n'a rien à voir avec les circonstances extérieures.
Votre façon de vous sentir est quelque chose d'intérieur, c'est une roue qui ne cesse de tourner. Observez-la simplement - c'est très beau, car en en prenant conscience, vous avez atteint quelque chose. Désormais, vous comprenez que vous êtes libre des excuses extérieures, car rien ne s'est passé à l'extérieur et pourtant, en quelques minutes, votre humeur a passé du bonheur au malheur, ou vice-versa.
Cela signifie que le bonheur et le malheur sont vos humeurs et qu'elles ne dépendent pas de l'extérieur. C'est une des choses les plus fondamentales à réaliser, car à ce moment-là, on peut faire beaucoup. La deuxième chose à comprendre, c'est que vos humeurs dépendent de votre inconscience. Aussi observez simplement et devenez conscient.
Si le bonheur est là, contentez-vous de l'observer et ne vous identifiez pas à lui.
Quand le malheur est là, observez encore.
C'est comme le matin et le soir.
Le matin, vous observez le soleil levant et vous y prenez plaisir.
Quand le soleil se couche et que l'obscurité descend, vous observez et vous y prenez le même plaisir.
Votre façon de vous sentir est quelque chose d'intérieur, c'est une roue qui ne cesse de tourner. Observez-la simplement - c'est très beau, car en en prenant conscience, vous avez atteint quelque chose. Désormais, vous comprenez que vous êtes libre des excuses extérieures, car rien ne s'est passé à l'extérieur et pourtant, en quelques minutes, votre humeur a passé du bonheur au malheur, ou vice-versa.
Cela signifie que le bonheur et le malheur sont vos humeurs et qu'elles ne dépendent pas de l'extérieur. C'est une des choses les plus fondamentales à réaliser, car à ce moment-là, on peut faire beaucoup. La deuxième chose à comprendre, c'est que vos humeurs dépendent de votre inconscience. Aussi observez simplement et devenez conscient.
Si le bonheur est là, contentez-vous de l'observer et ne vous identifiez pas à lui.
Quand le malheur est là, observez encore.
C'est comme le matin et le soir.
Le matin, vous observez le soleil levant et vous y prenez plaisir.
Quand le soleil se couche et que l'obscurité descend, vous observez et vous y prenez le même plaisir.
Publié par Isabelle Padovan
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