lundi, août 29, 2011

Hellépartie : symptomes


 Si un café t'empêche de dormir
 Si une bière t'envoie directement aux toilettes
 Si tout te paraît trop cher
 Si n'importe quelle bêtise te met en rogne
 Si un léger excès fait monter l'aiguille de ta balance
 Si tu arrives à l'âge des métaux (cheveux d' argent, dents en or, pacemaker en titane)
 Si la viande te fait mal à l'estomac,
 Si le poivre t'irrite et l'ail te fait régurgiter
 Si le sel fait monter ta tension
 Si tu demandes au maître d'hôtel une table loin de la musique et des gens
 Si attacher tes lacets te fait mal au dos
 Si la télé t'endort
 Si tu dois te servir de plusieurs paires de lunettes (de près, de loin, de soleil)
 Si tu as des douleurs d'origine inconnue
 Si tu as un ou plusieurs de ces symptômes,
 ATTENTION !
 C'est sûr, tu souffres d'Helléparthie !
 Et oui !
 Helléparthie ta jeunesse !  (Reçu de Lina C.)

vendredi, août 26, 2011

So simple

"Remembering that I’ll be dead soon is the most important tool I’ve ever encountered to help me make the big choices in life. Almost everything - all external expectations, all pride, all fear of embarrassment or failure – just fall away in the face of death, leaving only what is truly important. Remembering that you are going to die is the best way I know to avoid the trap of thinking you have something to lose. You are already naked. There is no reason not to follow your heart". ~Steve Jobs

mercredi, août 24, 2011

Prendre la porte


Voilà j'ai fini mon séjour breton, la porte est ouverte vers de nouvelles aventures... Je laisse mes parents en super forme, je trouve, pas mécontents il me semble de retrouver leur rythme "à eux" et "leurs" façons de faire. J'ai promis bien sûr d'être de retour au premier rappel ! En attendant des destinations plus lointaines je commence par un petit tour de France. Demain Nantes et Angers, après demain : Orléans...Châtellerault peut être... Et puis bientôt, Millau, St Georges sur Luzançon, Port la Nouvelle... Tout plein de retrouvailles et de nouvelles rencontres en perspective.

Re- cousines


Cet été aura été l'été des retrouvailles en famille.
J'ai vu débarquer hier et quelle surprise deux de mes cousines dont l'une (Nanou ici à gauche) que je n'avais pas vue depuis près de 40 ans !!! Sa sœur (Marie France) j'ai eu l'occasion de la croiser plus souvent tout de même. Dire qu'on a eu la même grand-mère !!!

lundi, août 22, 2011

Vierge

Nous entrons dans l'énergie du signe de la Vierge. "Le temps est venu maintenant, où vous pouvez, si tel est votre choix , proclamer votre identité avec à la fois les deux aspects : Matière et Esprit..." (Astrologie Ésotérique - A.A.Bailey.) 

dimanche, août 21, 2011

Paris, 17 sept 2011, ambiance assurée .

Et un petit coup de pub familiale, ça ne fait pas de mal !

Jefferson et la Bourse

"Le problème ne date pas d'hier" , souligne l'envoyeur 

Oh la la

Ma jolie maman, depuis quelques jours, grommelle toujours quelque chose - surtout quand elle marche à l'aide de ses deux cannes anglaises - que je ne parviens pas à saisir.
Une sorte de mantra. Ce pourrait être une prière, du sanscrit... J'écoute et je ne saisis pas. Seulement à l'instant, sans doute un peu plus attentive encore qu'à l'habitude, j'ai décelé que ce qu'elle dit du haut de ses 91 ans 1/2, et  c'est  : "ohlalaohlalaohlala".

Et il est un cousin

Il n'y a aucune raison de le laisser derrière, ce Michel dit "de Pontivy", pour le distinguer des autres Michel de la famille puisque nous faisons une sorte de chronique familiale des visiteurs de l'été et qu'il est venu lui aussi nous rendre visite à Merlevenez. Après l'avoir vu, la cousine Martine m'écrivait : "Toute la journée fut une suite de trésors. Michel, pour revenir à lui, m'émeut. Je le trouve courageux, intelligent, lucide, débordant d'amour ....". Que pourrais-je ajouter ? Qu'il a été aussi un enfant profondément blessé, aussi est ce difficile pour lui parfois de ne pas revenir, sans haine toutefois, sur ce passé mais il a  (peut-être est-ce un trait de notre famille )une telle foi dans la Vie qu'il a appris à cultiver l'Amour envers ceux qui lui ont causé du tort. C'est un fort bon jardinier des sentiments. Il  sait aussi se montrer  indulgent, curieux, enthousiaste, généreux.  Ce qui fait de lui une sorte de chevalier moderne d'une spiritualité incarnée, super sympa à rencontrer. Un bel être de lumière en expérimentation de matière quoi ! Bon retour sur tous les "Chemins du Possible", Michel.

Il est une cousine

qui en tant que fœtus s'est fait mettre un doigt dans l’œil,
avouez que c'est inhabituel de se faire éborgner par une jumelle...
 Ce fut le début d'une vie invraisemblable qui allait réclamer d'elle d'apprendre à choisir le détachement, de pratiquer le pardon à vaste échelle, de se tenir seule et ferme au juste milieu en ne comptant que sur son propre discernement afin de devenir cette lumière stabilisée qu'elle EST devenue.
Il fallait  "que le choix soit fait ".
Elle sait qu'on ne sert pas deux maîtres à la fois donc elle a appris à "choisir la voie qui conduit entre les deux grandes lignes de force", la voie juste entre les deux grandes paires d'opposés, le choix qui réoriente l'aspirant sur le chemin du Père  quand l'énergie de la forme se trouve équilibrée par l'énergie de l'âme... Un véritable travail d'Hercule à accomplir.

Pour y parvenir, je l'ai vu accepter de tout perdre : un cadre de vie, sa propre famille, l'amour de ses fils, son travail,sa santé. Tout absolument tout. Comme si elle était menée de crucifixion en crucifixion sans la vision d'une résurrection proche. Mais elle peut croire avant de voir, aussi je l'ai vue grâce à cette énorme force  être récompensée au centuple. Ce travail de titan poursuivi sans relâche avec  foi et espérance  l'a menée à cet équilibre qu'elle démontre en tout, à cette joie qu'elle partage sans compter, à ces services multiples qu'elle rend du plus petit au plus grand avec le même dévouement et sans même en parler. Elle n'a peut être pas de diplôme universitaire, ma cousine Marie, mais elle a gagné haut la main le plus haut des concours passé sur le fil du rasoir : celui qui consiste à être reconnue par l'âme comme un serviteur efficace pour avoir su se libérer des pièges extérieurs afin de devenir, consciemment , et elle a pu le constater elle même sur le Chemin de Compostelle, cette force fraîche sur la colline, ce sourire qui transmet la joie, cette sérénité qui repose. Un cadeau pour ceux qui ont le bonheur de croiser sa route. Elle a, mieux que personne, elle qui a choisi de se faire appeler Marie tout court, gagner le droit d'y accoler son second prénom  : RENEE , car "re -née", certes elle l'est. Belle vie à toi ,doux et apaisant monceau d'Amour.

Fleuves d'amour



Ils sont petits au début mais deviennent au fil du temps plus forts et plus profonds 
et une fois leur course entamée, il est impossible de revenir en arrière. Il en est ainsi des fleuves, des années et des amitiés. (Traduit du sanscrit). Bon dimanche. 

vendredi, août 19, 2011

Il est un jardin

C'est en 1998 que fut planté le premier arbre de mémoire dans les "Jardins de mémoire" du Bono. Depuis, de nombreux arbres-mémoire, témoins de vies passées, y ont été plantés.
 "Ici la verdure du jardin, la douceur de la rivière, la lumière de ses eaux, les chants des oiseaux sont venus remplacer le gris et la froideur des marbres des cimetières.
Ici, règnent la couleur, la lumière et la beauté dans un écrin exceptionnel sur les rives du golfe du Morbihan.
 Ici l'harmonie, pendant quelques trop rares instants, distrait l'homme de sa peine." écrit le fondateur.




Martine et Régis y viennent régulièrement fleurir et entretenir le jardin de leur bien-aimé Johann dont c'était hier
l'anniversaire de naissance. Ils avaient choisi pour lui un tulipier blessé qui s'est cicatrisé.  Comme le jardin est près de
chez mes parents, nous avons eu la joie de les recevoir " pour le 4 heures ".
"Sur cette photo, dit Martine, je retrouve la position d'un personnage du dix neuvième siècle sur un tableau vu à Londres !
Comme si l'image s'était déplacée dans le temps et le lieu !".  Je vois que l'oiseau fabriqué et offert par Hagen  et venu tout droit du beau Connémara ne cesse quant à lui , de picorer le chagrin. Il en viendra à bout afin que la possibilité, l'espérance de joie puisse repousser au pied du tulipier.  


Nicole T.

Nicole T
Impersonnali T  / Séréni T
Une somme de bon sens paten T

"Une âme sur patte"

Une de mes expressions favorites pour décrire un être qui s'abandonne sans jamais abandonner, qui rend les armes sans désarmer, qui aime sans compter. Nicole est de ceux là. Je ne l'ai jamais vue manifester la moindre malveillance. Elle SAIT. Elle connaît les lois. Je ne dis pas qu'elle  comprend tout  mais elle a le bon sens inné de faire confiance à ces principes qui régissent à la fois l'Univers et les Terriens.
Elle a ce qu'on appelle "une optique différente ".
Et pourtant j'ai la même !
Et ne voilà -t-y pas que j'ai eu le bonheur de la voir sur mes terres
En Bretagne, cette semaine !
Elle aurait eu beau se cacher derrière ses verres fumés
Je l'aurais reconnue à l'Amour qui se dégage de son être divin.




De la voir chez mes parents, même petit déjeunant dans leur cuisine
De la voir avec sa fille, avec son petit fils  m'a emplie de bonheur.

Je l'ai menée dormir dans la maison  aux volets vert d'eau.
Et il y a fait  froid  quelques heures jusqu'à ce que les deux soleils, intérieur et extérieur, se rejoignent et  que le savoir règne.

Il est des gens comme ça qui n'ont rien à faire d'autres qu'à être.
Ce sont des ponts qui se laissent marcher dessus pourrait-on croire de l'extérieur
alors qu'ils se laissent traverser pour nous permettre d'aller de soi à SOI.
Merci Nicole d'être ce TOI là .

Il est une maison

En Bretagne, pas loin des dunes aux mains vertes levées,  il est une maison aux volets trop souvent clos 

Une maison où rien ne se bat,  où tout s'harmonise

Une maison où les phares se reposent d'une incroyable lumière

Et où les hortensias pousseraient à même sur les murs 

Des murs qui murmurent l'histoire encore nouvelle d'une femme peintre éprise d'un cascadeur poète de la vie qui y vécurent et... eurent de beaux enfants. J'en témoigne : je les y ai vus  


   Une maison dont on ne voudrait plus partir quand elle commence à se dire. Et voilà que là cet été , elle se dit
" à vendre...." 



J'ai dit à l'Ange

Je t'ai reconnu dans l'oiseau
Tu es le compagnon que je connais le mieux
Je t'ai donné un nom que nous étions seuls à connaître
Nous avons eu des milliers de conversations silencieuses

C'était à moi de t'éblouir et pas l'inverse
Des tours, tu m'as jetée sur le chemin  sans fin
Tes pensées ont surgi au milieu de ma nuit la plus sombre
Tu m'as emplie de certitudes, relevée des décombres

Je t'ai aimé il y a longtemps certes
Je t'aime encore
C'est lorsque tu m'as  embrassée
Trop fort
Que mon cœur s'est mis à fibriller, à tort

Ta bouche sur mon cœur
Comment pourrais-je ne pas la savoir, ou en douter ?
Puisque tu danses  en moi jusqu'à me tenir éveillée


Tu es au  delà de ma forme, plus qu'une ombre, l'invisible ossature
Comment pourrais-je ignorer ton existence
Quand la mienne , tu me l'as donnée


Quand j'ai ta conscience pour marche-pied
Quand tu es l'observateur que je ne peux jamais oublier ?


Ange Gardien

"Je suis l'oiseau qui frappe à ta fenêtre le matin
Et ton compagnon que tu ne peux connaître
L'arbre en fleurs qui s'illumine pour l'aveugle
Je suis la crête des glaciers qui se détachent au-dessus des forêts

Je suis l'éblouissant
Je suis les voix de cuivre provenant des tours de la cathédrale
La pensée qui surgit soudain à midi
Et t'emplit d'un étrange bonheur

Je suis celui que tu as aimé il y a longtemps
je marchais à tes côtés pendant la journée
je te regarde tendrement
Et je pose ma bouche sur ton cœur
Mais tu ne le sais pas







Je suis ton troisième bras
Et ta seconde ombre, celle qui est blanche
Dont tu ignores l'existence
Mais qui ne peut jamais t'oublier

Roll Jacobsen ( poète norvégien)

lundi, août 15, 2011

Voyages

"Le plus grand voyageur n'est pas celui qui a fait 10 fois le tour du monde mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même ".

Me voilà bien d'accord avec ça.
Moi qui viens de faire le tour de mon cœur à moins que ce ne soit lui qui  ne m'ait fait un tour. Une tachycardie sévère suivie d'un trop long  trouble du rythme ont fait que j'ai été transportée en urgence dans la nuit du 10 au 11 à l'hôpital de Lorient par le SMUR (Service mobile d'urgence et de réanimation). Je dois dire qu'en la circonstance particulière, le tintamarre de pins-pons, le gyrophare dans la nuit noire, le quartier entier réveillé puis l'agitation des acteurs, le déploiement de forces, de moyens, de calmants, de talents m'ont semblé un brin exagérés. Je n'avais fait qu'appeler SOS Médecin pour expliquer ce qui se passait et avoir un avis qui m'éclairerait assez jusqu'au petit matin...Sans doute ma description leur a-t-elle semblé préoccupante...Car je n'aurais jamais imaginé tout ce qui allait suivre et combien je contribuerais en un seul coup de fil mesuré  à mettre  plus en péril encore notre pauvre Sécurité Sociale ! Non pas que j'oublie que pour sauver une vie il se peut qu'il faille dans le quart d'heure, la dextérité et la célérité de 4 pompiers, de 2 infirmiers, de 2 brancardiers, d'un ambulancier, d'un médecin ré-animateur et de son assistant étudiant. Mais pour ma part, j'ai eu sur le moment  l'impression d'avoir été subitement engagée en tant que figurante, en djellaba , sans sous et sans souliers,  pour le tournage d'une série télévisée. D'autant que le médecin en question jeune, blond et beau aurait aisément pu se glisser dans le rôle d'un Brad Pitt !  Bientôt dans un nouveau  rugissement de klaxons nous quittions les prés de Locohin et c'était à se demander si dans ce grand spectacle de sons et de lumières je n'allais pas, à une si  vive allure, passer directement de la civière au cimetière. Mais non ! "Nous sommes à Lanester ". Ah bon ! Bientôt à l'hôpital Bodélio, course de brancard, puis dans la salle des urgences :  une batterie d'anges. Tous pressés : je suis si oppressée.  Radio, électro, perfusions, prises de tension. Au bout de quelques temps, tant d'attentions et de compassion eurent raison de ce malaise cardiaque et pleine de gratitude pour tant de sollicitude, je sortis de l'écran. Le rythme se rétablit.  Et donc, moi aussi . Reconnaissante à la Vie. Ne valait-il pas mieux cette fibrillation auriculaire ici  plutôt que dans la brousse africaine ou le désert de Gobi, plutôt que dans les fins fonds de Mada ou les contreforts de l' Himalaya ?  Maintenant je suis surveillée, piquée le soir, repiquée le matin, observée, plus allégée qu'alanguie depuis que le sang est désépaissi. Je me sens vraiment bien. Je fatigue beaucoup moins.  Je ne sais pas qui ,de mon cœur ou de moi, a sauvé l'autre. En dehors du SMUR.  Mais peu importe ! Nous savons l'un comme l'autre que de toute façon nous finirons la vie ensemble. Qu'elle s'arrêtera à la bonne heure, au bon moment, au bon endroit. Moi j'étais prête  à ce que ce soit ce soir là. Lui apparemment pas !
Et ça, c'est déjà un fameux tour en soi.

dimanche, août 14, 2011

Puis avec les meilleurs amis



Quand la famille s'en fut partie restait pour vraiment clore la fête à remercier Étienne et Mimi, les amis de longue, longue date...



Et Jean, frère d' Étienne, et son épouse Suzanne, pour leur présence si amicale tout au long des années. Jean vient pratiquement chaque jour vérifier que le garage est fermé, les canards nourris ou pour apporter tomates, haricots verts ou pommes de terre.


Pierre est lui aussi toujours disponible pour réparer l'auto, apporter les œufs frais, et beaucoup de bon sens...



Que des compagnons de choix pour souffler une dernière fois les bougies pour ces noces de platine !  Pour les noces d'albâtre le rendez-vous est pris en 2016.

Journées en famille


D'abord les frère et sœurs font les courses au super marché, assiettes et verres à pied






Anaïs appelait Maria sa "cousine blanche"




Et Némo n'hésitait pas, par T-shirt interposé, à tirer la langue à une arrière grand mère façon Rolling Stones

Il faisait hélas bien gris
si bien qu'Emmanuelle s'accrochait plus à un grand parapluie qu'à un parasol

Pendant que Coco prenait quelques conseils avisés de Guillaume.

vendredi, août 12, 2011

Sur Arnaud Desjardins


De la maîtrise aujourd’hui

 Arnaud Desjardins vient de nous quitter, la nuit du 10 août 2011, à 86 ans Cette formidable figure de la spiritualité en France venait de publier un livre : La Paix toujours présente à la Table Ronde qu’il disait être le dernier : c’était prémonitoire.
 Il y fait la synthèse de ce qu’il a appris, reçu et transmis au fil d’une existence incroyablement riche et féconde. Devenu réalisateur de télévision, il tourne en effet dans les années 60 une série d’émissions consacrées à l’Inde spirituelle, puis aux maîtres tibétains en exil, aux soufis d’Afghanistan, pays alors paisible et accueillant, jusqu’au Japon où il découvre l’univers des temples zen. Ces films, qui connurent un grand succès lors de leur diffusion, lui permirent de rencontrer et vivre auprès de personnages exceptionnels tels la sainte Ma Ananda Moyi, le Dalaï Lama ou le maître zen Deshimaru, pour ne citer qu’eux. Il fera aussi passer leur message, qui deviendra le sien, par de nombreux livres et des enseignements oraux. Dans ce livre il aborde aussi bien la question de notre libre arbitre, que la façon de gérer notre quête intérieure en sachant discriminer les énergies saines et malsaines en nous. Pour lui, chacun de nous possède en soi un espace spirituel fait de calme et de sérénité qu’il s’agit de découvrir sous la masse de nos pollutions psychiques et émotionnelles. Il rappelle que pour réussir notre parcours intime d’évolution nous avons besoin d’un véritable entraînement moral, intellectuel et physique. Chez les anciens grecs le mot ascèse signifiait : l’art de s’entraîner. A chacun sa façon de trouver sa façon de faire !
 C’est là tout le sujet de ce rare témoignage, qui nous enseigne à retrouver un équilibre fondamental orienté vers l’essentiel.
 Arnaud fut l’une de mes toutes premières interviews en 1969, quand, jeune journaliste, je travaillais au n° spécial Planète Plus sur le saint hindou du 19ème siècle Ramakhrishna (réédité depuis au Courrier du Livre). Je me souviens lui avoir posé la question de savoir si, sur la voie spirituelle, on pouvait atteindre une étape ultime, un samadhi définitif, quoi ! Il avait éclaté de rire et m’avait répondu : « oui, on traverse des étapes pour s’apercevoir en fait que c’est toujours plus loin ! » C’est un être magnifique qui disparaît aujourd’hui. Il avait su défendre les principes d’une spiritualité laïque ouverte, tolérante et profonde, adaptée à notre temps.
 J’écrirais longuement sur lui plus tard mais je tenais, dans l’émotion de cette triste nouvelle, à dire quelques mots sur cette personnalité majeure, cet ami, cet être humain éveillé dont beaucoup ont su apprécier la sincérité, la bienveillance et la présence.
 Marc de Smedt

mercredi, août 10, 2011

Live to Love


Lors de votre prochaine dispute ou situation conflictuelle, faites l’essai : marquez une pause.
Considérez les luttes de chacun avec compassion. Reliez-vous à votre plus haute intention. Chaque fois que les choses deviennent difficiles, marquez une pause avant de parler et prenez conscience de votre plus sage motivation. Partant de là, tout sera plus fluide. C’est le secret de la parole sage.
Comme le décrivait le bouddha : « parle avec une motivation bienveillante. Dis ce qui est vrai et utile, parle au moment opportun et pour le bienfait de tous.»
Quand nous nous relions à notre plus haute intention, nous apprenons à voir avec les yeux de la compassion et tout devient plus faisable.
(Bouddha mode d’emploi de Jack Kornfield / édition : l’esprit d’ouverture / préface de Thierry Jansen)
Transmis par Véronique Héno .
Photo de M.Corrignan ( Coco)

mardi, août 09, 2011

Steph missing


Ne cherchez pas Stephane désespérément car elle n'était pas là
voici un petit agrandissement de notre clan incomplet
Devant moi : Némo
De chaque coté : à droite, ses parents,  Emmanuelle et Guillaume
A gauche :  Marine et Pierre , père de Maria et de Lila , alors à la sieste .
Manquent Stéphane et ses enfants Camille et Nicolas  et Loïs , fils aîné de Marine.

jeudi, août 04, 2011

Message d'un prisonnier

La sainteté est cette invisible force qui tient le monde debout depuis sa création. Elle est le choix délibéré que fait un homme d’être entier, d’accueillir le bien comme le mal, la justice comme l’injustice, la cruauté comme la bonté, la maladie comme la santé – d’accueillir et de bercer l’entièreté de ce qui est – sans condition, sans restriction, de tenir contre sa poitrine ce monde scandaleux et sublime comme on bercerait un monstre endormi.

Dans une cellule de 2 mètres sur 3, où la lumière coule par une meurtrière large comme la main, Roger, Noir américain incarcéré pour meurtre, condamné à mort et innocent, nous enseigne la liberté.

Extrait de la Préface de Christiane Singer au livre de Roger W. MC GOWEN :
‘Messages de vie du couloir de la mort’ – éditions Jouvence
Transmis par Hommes de Paroles.

lundi, août 01, 2011

La ferme de Kergonan

 Pour ceux qui aimeraient à la fois les bonnes crêpes et les belles pierres, la ferme de Kergonan en Pluneret




dans le morbihan , tél : 02 97 29 18 80, du côté de Ste-Anne d'Auray  me semble l'endroit  idéal où s'arrêter.. Je m'y suis rendue avec ma cousine Marie et nos sens que ce soit la vue, le toucher, l’ouïe, le goût ou l'odorat se sont  régalés. Douceur du bois, parfums des ingrédients, fond de musique celtique, saveurs des crêpes, charme de l'endroit, tout était là, en abondance . C'est ouvert tous les jours l'été et il y a, en sus, un vaste espace aménagé pour que les enfants puissent s'amuser. Une excellente adresse, vraiment, pour ceux qui visiteraient la Bretagne et seraient entre Vannes et Auray à l'heure du déjeuner...

Réflexions d'un 1er août

Envoyées par Martine P.


Tout acte d’Amour est une œuvre de paix.
Sa grandeur ou sa petitesse importent peu
« Mère Térésa »




Les paroles de Bonté créent la confiance.
Les pensées de Bonté créent la profondeur.
Les actes de Bonté créent l’Amour.
Lao Tseu.