Mais la plus belle surprise de toutes fut de trouver dans une valise oubliée, que Michel n'avait eu ni le temps ni la force de vider, ce tanka que je n'avais jamais vu, ramené du Népal en avril 1999, quelques 10 semaines avant sa mort, et de le trouver alors que justement je lui demandais le matin même ce que j'allais bien pouvoir accrocher de significatif
au -dessus de mon lit. Merci Michel. |
Quelles heureuses retrouvailles !
RépondreSupprimerA s'enivrer de bonheur...