Je reviendrai dans ce pays car je n'ai rien vu, ni les canyons, ni le désert, ni le lac de sel...
Je passe pour me rendre à l'aéroport par les marchés divers.
On dirait que toute la ville en fait est un grand marché. Ici,une femme vend sa chèvre en morceaux.
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Des fringues |
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Des fringues |
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Et encore des fringues... |
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Jusqu'à l'aéroport la montagne tient sa place dominant le tout |
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L’aéroport, qui est très petit pour une vile de cette taille. Il n'est quasiment emprunté que par les gringos et quelques riches "bolivianos". Très humaine, l'échelle. Ça fait du bien . |
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