vendredi, avril 13, 2012

Eglise encore mais de qui se moque-t-on , comme aurait dit Michel





Le Congrès du Honduras veut voter une proposition de loi prévoyant d'emprisonner les femmes qui prennent la pilule du lendemain -- y compris les victimes d'agression sexuelle. Mais le président du Congrès peut empêcher cela. Il est soucieux de sa réputation à l'étranger et de son avenir politique, donc nous pouvons le piquer au vif en l'appelant massivement à cesser cette attaque contre les femmes.




Le Honduras pourrait adopter dans quelques jours une loi extrémiste qui prévoit d'emprisonner les adolescentes qui ont pris la pilule du lendemain, y compris les victimes de viol. Mais nous pouvons bloquer cette loi et garantir aux femmes le droit d'éviter une grossesse non-désirée.


Certains membres du Congrès reconnaissent que cette loi -- qui prévoit aussi d'emprisonner les médecins et toute personne qui procure la pilule -- est excessive, mais ils subissent les pressions du puissant lobby religieux qui prétend à tort que prendre la pilule du lendemain est un avortement. Seul le chef du Congrès, candidat à la présidence du pays et qui se soucie de sa réputation à l'étranger, peut empêcher cela. Si nous mettons maintenant la pression sur ses épaules, nous pouvons enterrer cette loi rétrograde.


Enceinte en espagno se dit EMBARAZADA : quel dommage J'aimerais mieux:  enallegrada !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire