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Ma plage |
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Ma rue |
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Vue de la terrasse |
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Déjeuner à la playa del Pescador |
Pas difficile de se sentir bien ici et maintenant à Guayacanes, un petit village côtier qui s'étire le long d'une petite route en bordure de mer, le long d'une plage frangée de cocotiers. Entre l’Équateur et le tropique du cancer. La température de l'air est de 28° et la température de l'eau est de 26. Les fleurs de toutes les couleurs dégoulinent des murets. Est-ce que ça ne ressemble pas à l'éternel été ? Grâce à Martine je suis logée par Chantal dans une belle maison dans une belle chambre prolongée d'une grande terrasse fleurie qui donne sur la mer des Caraïbes aux couleurs exotiques. Un rêve. Dans le village, deux restaurants réputés : le Pescador où je viens de déguster, les pieds dans le sable après m'être baignée, un poisson pêché dans l'heure grillé sous mes yeux et le Deli Swiss, une belle maison au bord de la mer aussi où le patron, œnologue passionné, propose une carte de vins époustouflante puisqu'il offre 800 marques de vins du monde entier. Peut-être que les dominicains sont moins érudits que leurs voisins cubains ( Merci Castro) mais je les trouve chaleureux, gentils, joyeux, accueillants et respectueux et la musique, qui inonde les rues en permanence de 6 heures du matin à minuit, qu'on finit par ne plus entendre qu'en bruit de fond mêlé à celui incessant des vagues qui lèchent le rivage finit par me faire croire que je suis vraiment venue en vacances ! Il faut que je me réveille !
Why ?
RépondreSupprimerPourquoi faudrait-il se réveiller d'un rêve ?
Parce que je suis venue ici pour travailler !
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