lundi, octobre 03, 2011

L'île d'Orléans

Ce ne sont pas des cabanes au Canada qui longent la superbe route mais de bien jolies maisons le plus souvent en bois qui aussi coquettes que discrètes longent la superbe route le long du St Laurent. Nous avons admiré partout la netteté des pelouses, la qualité des peintures bien entretenues , les haies parfaites comme si les habitants ici étaient fiers de montrer l'amour qu'ils portent à cette terre qui les nourrit.
Robert et Stéphanie noyés dans le gris...

L’île d’Orléans, arrondissement historique, fait vivre la campagne traditionnelle québécoise avec ses paysages magnifiques, en bordure du fleuve Saint-Laurent et à proximité de Québec puisque la ville n'est qu'à 15 kms

Le fleuve et la Terre se mêlent à chaque détour. Ici des vieilles fermes, des oies en quantité et des vergers, des vignes même, là des bateaux plantés en terre attendent sans doute d'être remisés pour l'hiver

"Longtemps appelée « Jardin de Québec », l’île d’Orléans, riche par sa qualité et sa quantité de produits, est une destination tout indiquée pour l’agrotourisme. Depuis plusieurs siècles, les pêches miraculeuses, la fertilité du sol incroyable, l’implantation des cultures et les parties de chasse bénéfiques ont contribué à la notoriété toujours grandissante des ressources alimentaires abondantes. Le terroir nourrit par les vignes, les productions de fruits et légumes en tout genre, la production de miel et d’érable, la production laitière et avicole ". On peut imaginer que ces champs de pommiers en fleurs au printemps soient inoubliables.
Églises, cimetières, croix de chemin et autres monuments abondent à l’île d’Orléans et constituent son riche patrimoine religieux. Point de départ de 300 familles souches, qui essaimèrent partout en Amérique, l’île d’Orléans est l’un des premiers foyers de colonisation en Nouvelle-France. Ce « berceau de l’Amérique française » abrite encore sur sa terre de nombreux descendants de ces familles souches, véritables pionniers. Certaines de ces familles ont d’ailleurs été gratifiées, par les années passées, pour la présence continue de leur famille en terre orléanaise depuis les débuts de la colonisation dès 1639 et surtout par les familles plus nombreuses encore arrivées dans les années 1660/1670..


Beaucoup de pommes en l'air certes mais n'oublions pas les pommes de terre. Après les creux des vagues ( Nous avons vu des surfeurs, malgré le temps qu'il faisait, sur le St Laurent !) n'oublions pas non plus les petits creux d'estomac...

Et nous voilà bientôt en train de repasser le pont, enrichis de toutes les beautés révélées à chaque tour de roue . Et pour finir de nous émerveiller, la chute Montmorency... "La chute Montmorency a été nommée par Samuel de Champlain en 1603. Ce nom a été choisi en l'honneur de l'amiral Charles de Montmorency, duc d'Ampville. La chute fait 84 m de haut, (les chutes du Niagara ont 54 mètres de haut). Des plates-formes d'observation ont été aménagées au sommet et au pied de la chute.
En 1759, lors du siège de Québec, c’était la rivière Montmorency qui séparait les armées française et anglaise. Chaque hiver, la chute Montmorency se transforme en une pittoresque montagne de glace, appelée «pain de sucre».

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