La femme de Bernard, Anyta, une jeune et jolie malgache, sa meilleure amie, Jordine, une Rodriguaise, et moi bavardons souvent et volontiers pendant qu’elles se détendent les cheveux au Babylis dans une des chambres du premier...
Et j’en apprends beaucoup sur leur vision de la vie, la culture de leurs deux pays, la vie dans une si petite île où absolument tout le monde connaît tout le monde mais où derrière un rideau de ragots on se sent toutefois protégé, reconnu et aimé malgré tout.
Ces deux là se font des transfusions de gaîté quotidienne.
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