Pas de réveillon peut-être mais un âne et un boeuf pour ce jour de lumière . Et pour abri cette nuit là, une étable pour moi , où d'aillmeurs je pris froid ! ! Un 4/4 allait nous déposer au pied de la falaise où après déjeuner nous attendrait notre charrette . Sur le chemin je pouvais visiter un premier village dogon et je dois dire que c'était un peu comme d'être transplantée dans une Afrique nue à force d'être érodée ,." Ces terres arides , rocailleuses, ravinées où tout porte l'empreinte d'une érosion sans fin sont à l'image rude de leurs habitants. ici il n'y a que la sueur de l'homme pour faire verdir les rochers .Moussa Konaté - L'empreinte du Renard-
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