mardi, mars 30, 2010

Des bidonvilles bien sûr






Près du fleuve, le long de la voie ferrée, sous les ponts d'autoroute , un peu partout. Des endroits inimaginables où pourtant on pourrait rester. Des cases de 3m² qui ne nous serviraient pas de porcherie et pourtant là un homme accroupi sur son lit qui vous sourit. Une casserole ou une boite de conserve , un petit feu pour chauffer l'eau. Un extrême dénuement et pourtant le plus généreux des sourires. Baisers donnés, baisers rendus. Sceaux d'une inégalité inacceptable qui devrait disparaître. Main dans la main. Bonheur d'un échange humain simplement juste.

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