Je voudrais prendre le temps de voir, d'entendre et d'être pour faire la preuve que la foi attire toute sorte de miracles.
lundi, octobre 26, 2009
On ne peut mieux dire
On a demandé au Dalaï Lama :
" Qu'est ce qui vous surprend le plus dans l'Humanité ?"
Il a répondu :
- " les Hommes , parce qu'ils perdent la santé pour accumuler de l'argent et ensuite ils dépensent de l'argent pour retrouver la santé !
Et à penser anxieusement au futur , ils en oublient le présent de telle sorte qu'ils finissent pas vivre ni le présent ni le futur,
Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu..."
What is the most surprising for you in this world ? someone asked to the Dalaï Lama
He answered : " Men for sure, as they loose their helth running after money and then spend money to restore their health . Thinking with anxiety about the future they forget the present and so they live neither in the present neither in the future do and they end up dying just as if they had not lived at all !
Et puis il y a Vincent
Un Vincent adorable qu'on n'a pas envie de lâcher, un Vincent responsable, un Vincent qui pense, qui sait que "le travail c'est de l'Amour rendu visible" , un Vincent déterminé, venu du Nord au Sud retrouver un amour , puis deux , puis bientôt trois . Un Vincent serviable , un Vincent super .... Merci Vincent pour qui tu es.
Le dernier soir avant de reprendre le bus pour Rodez nous nous sommes tous les 4 régalés à la Marmite du Pêcheur où Vincent à pris cette photo de la Granny en Aveyron.
Johanne lives with Vincent , a lovely man not very difficult to love so nice and so gentle he is . So kind with all , he has the perfect job as an ambulance's driver .
We wish those 3 and soon they will be 4 , all the happiness deserved . We had the last supper in this lovely restaurant in Millau : "La marmite du pêcheur" and Vincent took this picture of the 3 women of his day. Thanks Vincent for who you are.
mercredi, octobre 21, 2009
Lola
Johanne a une fille : Lola
Lola a tout juste 12 ans
Lola a un cochon d'Inde, deux même
Des amis dans le village ...
Je l'ai trouvée gracieuse, joyeuse ,
adaptable , bref très adoptable !
Me voilà avec une grande petite fille de plus !
Johanne
Dans ma vie il est une personne très spéciale qui porte le beau prénom de Johanne . Je l'ai connue en 1990, elle avait 16 ans . Depuis l'enfance elle se destinait à travailler autour de la naissance et elle venait, rejoindre le groupe "Luminaissance " que nous animions avec le projet spirituel de former de futurs parents à se préparer à la conception le plus consciemment possible . Notre travail consistait à former les personnes qui les formeraient à leur tour et à réviser avec elles les grandes lois de la nature et de l'Univers pour abandonner bien des croyances et se forger quelques convictions . Johanne était et de loin la plus jeune de nos "accompagnés" si l'on peut dire et je fus tout de suite frappée par la qualité de sa vibration et par sa détermination à chercher déjà des voies d'avant garde. Je ne mis pas longtemps à l'adopter et bien que je la voie relativement peu je la considère de "ma" famille, d'âmes bien évidemment . Elle est devenue sage-femme , et avait besoin à l'aube de ses 35 ans de faire le point sur le peu qu'elle pense avoir accompli du fait qu'elle ait commencé si jeune à travailler dans ce domaine ...Je suis donc allé la voir pour un week-end à côté de Millau , dans cet Aveyron si pittoresque dont j'avais oublié le charme. Derrière cette belle façade , tout près du cèdre du Liban , j'ai retrouvé la jeune fille en fleurs d'un enfant à naître dès le printemps et ont pu commencé les longues conversations, coupées de confidences, de fous rires , de récriminations sur l'état des choses et les choses de l'Etat , entre vin du pays et brandade de morue, aligot et confit! Un grand coup d'aspi . Aspirateur, Aspiration ? Ma fille de cœur demeure exigeante, se montre impatiente mais garde la vision . Quel régal pour moi de voir évoluer et se battre pour leurs idées ces êtres jeunes qui pourraient tant déployer leurs ailes qu'ils sauraient en peu de coups rattraper le temps perdu mais qui en sont empêchés encore par le poids des vieilles formes pensées et qui ne peuvent quand ils perdent courage que bouillir dans la case où ils sont consignés .
Le Lunéa
je suis allée en week-end dans l'Aveyron et pour rentrer de Rodez j'ai pris le Lunéa ,un train de nuit qui en 9 heures ! m'a ramenée à Paris Austerlitz aux aurores....Mais quel bonheur ! Arrêts peu nombreux et discrets, rythme d'antan, espace, confort. J'ai été épatée au point de décider de le reprendre comme ça de temps en temps juste pour le plaisir , pour vraiment bien dormir ! Une nuit aller, une nuit retour et, entre les deux, les couleurs de l'automne, l'explosion du printemps ...
I took a night train to come back from Rodez to Paris last week end and was impressed by the softness of the experience .Space, silence, smoothness :I had forgotten how a night in a train could be charming, an holiday in itself !
The mayonnaise jar (once more !)
When things in your life seem almost too much to handle,
When 24 hours in a day is not enough;
remember the mayonnaise jar.
A professor stood before his philosophy class
and had some items in front of him..
When the class began, wordlessly,
he picked up a very large and empty mayonnaise jar
and start to fill it with golf balls.
He then asked the students if the jar was full.
They agreed that it was.
The professor then picked up a box of pebbles and poured
it int o the jar. He shook the jar lightly.
The pebbles rolled into the open areas between the golf balls.
He then asked the students again
if the jar was full. They agreed it was.
The professor next picked up a box of sand
and poured it into the jar. Of course, the sand filled up everything else.
He asked once more if the jar was full. The students responded
With an unanimous 'yes.'
The professor then produced two cups of coffee from under the table
and poured the entire contents into the jar, effectively
filling the empty space between the sand.
The students laughed.
'Now,' said the professor, as the laughter subsided,
'I want you to recognize that this jar represents your life.
The golf balls are the important things - God, family, children, health, friends, and favorite passions
Things that if everything else was lost
and only they remained, your life would still be full.
The pebbles are the things that matter like your job, house, and car.
The sand is everything else --
The small stuff.
'If you put the sand into the jar first,' he continued,
'there is no room for the pebbles or the golf balls.
The same goes for life.
If you spend all your time and energy on the small stuff,
You will never have room for the things that are
important to you.
So...
Pay attention to the things that are critical to your happiness. Wholeheartedly worship your God
Play with your children.
Take time to get medical checkups.
Take your partner out to dinner.
There will always be time
to clean the house and fix the dripping tap.
'Take care of the golf balls first --
The things that really matter.
Set your priorities. The rest is just sand.'
One of the students raised her hand
and inquired what the coffee represented.
The professor smiled.
'I'm glad you asked'.
It just goes to show you that no matter how full your life may seem,
there's always room for a couple of cups of coffee with a friend.'
Please share this with other "Golf Balls"
mardi, octobre 20, 2009
" Souvenirs , souvenirs "
Magazine Psychologie Article de Patrick Estrade
Formé à l’Institut de psychologie analytique de Berlin, il est psychologue, psychothérapeute, écrivain et conférencier. Dans Ces souvenirs qui nous gouvernent (Robert Laffont), il nous fait prendre conscience page après page de la valeur de nos souvenirs, de leur profondeur, de leur sens.
Son message : « Nos souvenirs nous parlent et nous ne les écoutons pas. »
Il se définit lui-même comme un « interprète de souvenirs », comme d’autres interprètent les rêves. Le psychologue et psychothérapeute Patrick Estrade en a récolté plusieurs milliers, et les étudie depuis plus de vingt ans. Ils sont pour lui la marque indélébile de notre individualité, notre signature personnelle, la preuve que notre existence n’appartient à personne d’autre. Si les spécialistes de la mémoire sont très nombreux, rares sont ceux qui se sont penchés sur les souvenirs. Dans son dernier ouvrage, il amorce une passionnante théorie. Explications.
Ils influencent notre destinée
« Nous sommes si habitués à regarder au loin que nous en oublions ce qui est proche de nous. Les souvenirs, cela semble tellement commun ! Ma pratique de psychothérapeute m’a conduit à les regarder de près et à constater qu’il y avait là une immense richesse peu exploitée. Nos souvenirs nous parlent, mais nous ne les écoutons pas, car nous ne savons pas comment les lire. Nous n’avons pas conscience de leur sens caché, ni de leur pouvoir sur nous. Ils sont notre référence historique. Ils révèlent comment nous abordons la vie, quelles sont nos peurs, les rapports que nous entretenons avec les autres, notre style de vie, nos talents.
Les souvenirs sont notre fondement, le sol sur lequel nous marchons durant toute notre vie. Ils décident de nos choix et influencent notre destinée. C’est peu dire qu’ils nous gouvernent. Un homme, par exemple, vient me voir, car il est en perte de repères. Il me confie ses souvenirs de nombreux déménagements dans son enfance. En langage populaire, je dirais qu’il ne sait plus où il habite… Nos souvenirs nous permettent de nous orienter dans le monde. Ils nous servent de repères. Ils peuvent également constituer un frein à notre évolution, comme dans le cas de ce garçon que son père avait dénigré et qui, aujourd’hui, n’arrive pas à aller au bout de ses entreprises. »
Un baromètre émotionnel
« Nous nous rappelons de tel ou tel souvenir non pas parce que nous pensons au passé, mais bien parce que nous vivons ces mêmes émotions au présent. Il est donc intéressant d’examiner quel type de souvenirs nous allons chercher, car ils nous renseignent sur ce que nous ressentons ici et maintenant. Ils sont un baromètre de notre état psychologique intérieur. Un sentiment mélancolique réveillera un souvenir mélancolique ; un vécu d’insécurité, un souvenir insécurisant. Par exemple : une femme qui, dans sa vie actuelle, a la sensation de ne jamais avoir le choix, me parle incidemment du centre aéré où sa mère la forçait à aller. Nous avons tous des leitmotive comme “On ne me comprend pas” ou “Je ne fais jamais ce que je veux”, dont nous trouvons confirmation dans nos souvenirs.
Un souvenir reste donc gravé en nous par la force des émotions qui l’accompagnent ainsi que par la manière dont nous avons pu ou non lui donner du sens. Tout ce que nous vivons, la plus légère impression ou la plus grande douleur, s’inscrit sur le disque de cire de notre mémoire, comme les microsillons d’autrefois. Une femme me raconte l’immense joie qu’elle a ressentie le jour où, en classe, alors qu’elle pensait sa mère en voyage, elle l’aperçoit par la fenêtre. Voilà une émotion qui s’est définitivement gravée en elle. »
Toujours prêts à remonter
« Ceux qui disent ne pas avoir de souvenirs se trompent : les souvenirs oubliés ne sont pas des souvenirs perdus, ils sont quelque part en réserve dans notre cerveau. Ils ressemblent aux poissons : certains affleurent à la surface de l’eau et sont bien visibles, d’autres restent dans les profondeurs. Ils n’en sont pas moins là, prêts à remonter un jour ou l’autre. L’inconscient a un ascenseur très efficace. Il laisse seulement remonter les souvenirs dont nous avons besoin aujourd’hui pour évoluer et que nous sommes capables d’affronter. Je le vois chaque jour en thérapie lorsque, par exemple, une personne a manifestement subi un inceste et affirme ne pas s’en souvenir. Mais attention, ne forçons pas la porte des souvenirs. S’ils ne viennent pas, c’est que nous ne sommes pas prêts. »
Ils nous délivrent
« C’est une chose merveilleuse lorsque de nouveaux souvenirs émergent, comme des lettres qui seraient demeurées trop longtemps en poste restante. C’est le signe que, dans notre vie d’aujourd’hui, nous sommes devenus suffisamment mûrs pour être capables de les accueillir, comme dans le cas de cet homme qui conservait des souvenirs très négatifs à propos de son père. Le jour où il a rencontré sa nouvelle compagne, des souvenirs très positifs avec lui ont commencé à émerger. J’ai vu des patients les larmes aux yeux lorsque de nouveaux souvenirs commençaient à leur apparaître, comme au lever du soleil, quand le brouillard se lève et dévoile un nouveau paysage. C’est une vraie réappropriation de soi.
Il est également important de verbaliser ses mauvais souvenirs ou de les déposer quelque part. Je demande parfois à mes patients de les écrire, puis de les glisser dans une enveloppe et de les enterrer dans un sanctuaire. Cela peut être mon cabinet. Si quelqu’un, quelque part, a vécu une souffrance sans jamais avoir pu l’exprimer, j’aimerais qu’il puisse s’en défaire. J’ai créé un blog (souvenirs-souvenirs.blogspot.com ) dans cette intention. Les bons souvenirs, en revanche, il faut les faire mousser ! Ils nous emplissent et nous nourrissent, nous empêchent parfois même de dormir, puis ils se déposent, se sédimentent. Ce sont des réservoirs de bonheur. »
Notre regard sur le passé
« Un souvenir ne survient jamais gratuitement. C’est une histoire inachevée. Il y a en nous un enfant jamais fini et qui demande à être transformé. Je parle dans mon livre d’un souvenir d’enfance survenu durant son écriture. J’adorais jouer avec un soldat de plomb, et je me souviens du sentiment de puissance et de conquête que cela me procurait, mais que je payais d’un grand sentiment de solitude. Ce livre m’a transformé, car ce nouveau souvenir me parlait du sentiment de puissance et de conquête que j’éprouvais en l’écrivant. Il m’a aussi fait prendre conscience de cette solitude. J’ai choisi cette fois de faire autrement que par le passé, notamment en renforçant mes relations sociales et amicales.
Les souvenirs permettent d’éclairer le moment présent, de se réapproprier son histoire, de la poursuivre, d’étoffer sa personnalité. Aller à la recherche de ses souvenirs, c’est comme mettre en ordre sa maison. On enlève la poussière, on se débarrasse d’objets devenus inutiles et, parfois, on retrouve un objet de valeur perdu. Il y a des énergies cachées dans les souvenirs retrouvés. Il faut juste apprendre à les accueillir et à leur donner du sens. »
Qu'en faire ?
Cultivez les bons
Les bons souvenirs sont « le jardin de notre mémoire », explique Patrick Estrade, psychothérapeute. Dès lors, « comme une fleur qu’il est nécessaire d’arroser, il est indispensable de les revivifier. Pensez par exemple à organiser des dîners souvenirs entre amis, à renouer avec vos meilleurs copains d’enfance ou d’études, et prenez également le temps de mettre à jour vos albums photos ».
Déposez ceux qui font mal
Pour les souvenirs très douloureux, précise le psychothérapeute, « n’essayez surtout pas de vous en débarrasser en les refoulant ou en les enterrant, ce qui reviendrait à nier une partie de vous-même. Choisissez plutôt de les déposer. Ecrivez-les et demandez à un proche s’il veut bien en être le dépositaire ».
Enfer et Paradis
Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu.
Il lui dit : « Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est
l'enfer ? »
Dieu conduisit le saint homme vers deux portes.
Il ouvrit l'une d'entre elles et permit ainsi au saint homme de regarder à l'intérieur.
Au milieu de la pièce, il y ava it une immense table ronde.
Et, au milieu de la table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à
l'arôme délicieux.
Le saint homme saliva d'envie.
Les personnes assises autour de la table étaient maigres et livides.
Elles avaient, toutes, l'air affamé. Elles tenaient des cuillères aux très longs
manches, attachés à leurs bras. Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et
remplir une cuillerée.
Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne
pouvaient ramener les cuillères à leur bouche.
Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.
Dieu lui dit : « Tu viens de voir l'enfer. »
Tous deux se dirigèrent alors vers la seconde porte.
Dieu l'ouvrit, et la scène que vit le saint homme était identique à la précédente : Il
y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût, qui fit encore saliver
le saint homme.
Les personnes autour de la table étaient également équipées de cuillères
aux longs manches.
Mais, cette fois, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient en
riant.
Le saint homme dit à Dieu : « Je ne comprends pas ! »
« Eh bien, c'est simple, répondit Dieu à sa demande, c'est juste une question
d'habileté. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres, tandis que les gloutons et
les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.
L'enfer est souvent sur terre !!!" ..... C'est Maria qui vous le dit! »
mercredi, octobre 07, 2009
Lydia à Paris
Entre l'Irlande, l'Espagne et l'Italie , Lydia est venue passer 3 nuits et 2 jours et demi à Paris .
Elle était enthousiaste . Son charme , son bronzage, son allure de sirène ne laissaient pas les Parisiens insensibles . Elle en était ravie . Ravie aussi de sa soirée au Moulin Rouge, de sa promenade en bateau mouche et de sa caricature montmartroise ! Pour moi, ce fut l'occasion de jouer à la touriste et bien que ce ne soit qu'à mi-temps, j'ai trouvé ça tout à fait épuisant !
After visiting Connemara and Barcelona , Lydia before flying to Italy , spent 3 nights in Paris . She loved it . Her australian look, tan, soft and lightly dressed , her mairmaid's hairs, attracted a lot of attention so her first encounter with the latin males was full of charm and surprises ! She loved her evening at the Moulin Rouge , her trip on the Seine , her stroll in Montmartre and to lit a candle in Notre dame ....
To day she is in Venise . Soon in Rome !
However Australia is calling her back, said she this morning by mail, and she starts to fell " a bit homeseak"....ready to go back home a week before due date. We must admitt that the cost of life is dear all around .
Farewell dear Lydia .
I hope you will pack in your luggage great souvenirs from dear old Europe
lundi, octobre 05, 2009
The will of God
'To get something you never had, you have to do something you never did.' When God takes something from your grasp, He's not punishing you, but merely opening your hands to receive something better. Concentrate on this sentence... "The will of God will never take you where the Grace of God will not protect you."
Un commercial
C'est un commercial de chez Coca Cola qui revient du Moyen Orient très remonté
Il y était parti pour développer la marque là- bas
Son ami lui demande:
- Mais pourquoi n'as-tu pas réussi avec les Arabes?
- Quand j'ai été envoyé au moyen orient , j'étais persuadé que j'y ferais de bonnes affaires, la marque n'y étant pas très connue . Comme je ne parlais pas arabe, j'ai eu l'idée de passer le message à travers 3 images :
-la première image représentait un homme allongé sur le sable chaud du désert , vide épuisé , affaibli.
-la deuxième image le montrait buvant un coca cola
-la troisième le montrait en pleine forme , tout ragaillardi
Et ces panneaux furent puliés dans toute la ville
- Bonne idée ! dit l'ami . Ca aurait du marcher du tonnerre d'Allah cette histoire là ...
-Un putain d'enfer ouaih ! ,je ne savais pas que les Arabes lisaient de droite à gauche !!!!
( pour la petite histoire c'est un mail reçu de Dan et Mad Montagny)
This guy who works for Coca Cola is coming back from his campaign in the middle east and he is pissed off . His friend says :
-" How come didn't you succeed over there as you planned to ?
-As you know he answered, I thought I would make great business in those countries where Coca Cola is not yet vey known but I didn't speak arabic. So I figured out to pass the message through 3 images :
The first one showing a man exhausted and weak lying down in the desert's hot sand
the second one showing the guy having a can of coca cola
the thrid one picturing him alert, reviving , full of energy
Then this poster was exposed everywhere
- Great , says the friend, this should have worked!
- Hell! says the commercial , what i did not know was that the Arabs read from right to left !!!!
Aimer ou mourir
" Ce qui ne m’aide pas à aimer ou à mourir, je ne m’en soucie pas."
" What does not help me to love or die , I don't worry about "
L’enchantement simple Christian Bobin
Cadeau de Véronique Héno
dimanche, octobre 04, 2009
L'anniversaire de Nicolas
Nicolas a eu 9 ans . Pour fêter ça il a emmené ses amis les plus proches au cinéma voir "Le petit Nicolas" , un régal pour moi de me retrouver à l'école et à la maison dans les années 50...
Séance suivie d'un goûter partagé au Parc de Bercy suivi des jeux intemporels tels que la course à sac , le ballon prisonnier et l'épervier ... et bien sûr de l'ouverture des cadeaux.
Plus tard il irait en famille réduite diner à Disneyland pendant que Némo et moi nous régalerions encore en regardant "Mama Mia" chez ses amies jumelles Doris et Laura et leur papa, Patrick , comme moi fan d'Irlande .
On oct the 3rd, this saturday , Nicolas was 9 ! To celbrate, he chooses to take his best friends to see a moovie recently released "le petit Nicolas" the story of a gang of nice children in the 50th that I did enjoy myself immensely as I was growing up in the same kind of environment . This was followed by "the" cake party in the nearby parc of Bercy before they all played those everlasting games as jumping in sacs, seak and hide and throwing the ball. Later he would go with his nuclear family to have diner at Dysneyland while Némo and myself spent more time in front of a screen enjoying Mama Mia at his friends , the twins! and their great dad Patrick who happens to be , just like me , a fan of Ireland !
L'oiseau
Osera-t-il ou pas sauter le pas ?
Oui il l' osera
Il n'osera toutefois pas s'attaquer à la quiche de la belle polonaise , ma voisine dans un café de la place St Michel à Paris
This young polish woman was in a café near St Michel eating a quiche . Will the little sparrow dare or not jump to the next table?
It will ! but will not dare to go furthere and steal from the plate !